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12 janvier 2019 6 12 /01 /janvier /2019 14:39

Ce matin, la société de chasse de Saint Paul de Baïse organise sa seconde battue au chevreuil de la saison et le président m'a autorisé à inviter Christophe et Lionel. Nous arrivons sur place vers 8 heures pour le déjeuner. Ce dernier pris et les consignes de battue données, nous partons nous poster pour la première traque. Nous nous garons près d'une stabulation et remontons au travers du champ de colza vers un chemin forestier le long duquel nous devons nous poster. Le sol est jonché de traces plus ou moins fraîches de chevreuils. Je ne connais pas ce secteur, en contrebas sur notre droite, nous apercevons le petit bois de pins attenant au bois de la palombière que nous avons chassé lors de la battue précédente. D'après les dires des chasseurs de Saint Paul, le meilleur poste semble être celui dans la friche ponctuée de petits chênes au bout du chemin forestier. Christophe n'ayant pas eu encore d'occasion de tir cette année en battue, nous décidons avec Lionel de lui laisser ce poste prometteur. Nous rentrons dans le bois de chênes par le chemin forestier, je prends un premier poste à environ 50 mètres de la lisière sur la gauche du chemin, Lionel se poste un peu plus loin et Christophe poursuit jusqu'à la friche. Je m'avance d'environ 15 mètres dans le bois et me cale à droite d'une zone bien dégagée, au pied d'un gros arbre. Je casse quelques branchettes pour dégager mes angles de tir, le bois est assez salle sur ma droite et devant moi. Je ne vois qu'une réelle coulée à environ 10 mètres dans le sale devant moi.

La sonnerie de début de traque ne tarde pas à retentir et presque immédiatement les chiens se mettent à donner de la voix. Les menées s'enchaînent et les coups de feu également. Plusieurs fois, les chiens semblent aller vers Christophe et je croise les doigts pour lui. Au bout d'un bon moment, des bruit de pas résonnent derrière moi, je tente d'apercevoir l'animal sans succès. Il semble plus ou moins suivre le chemin quand une chevrette s'avance tranquillement à environ 40 mètres sur ma droite au bout de la zone dégagée. Pensant qu'elle va prendre vers moi, j'arme mon arc mais elle fait 2 pas et stoppe en 3/4 arrière pour écouter les chiens. J'aligne ma visée un peu au-dessus du défaut d'épaule et décoche. Ma flèche vole parfaitement et rentre là où je voulais, au défaut d'épaule de l'animal qui démarre en trombe et se retournant pour ressortir sur le chemin forestier, le traverser et fuir dans le penchant boisé qui redescend vers les pins.

Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019

Il m'a semblé que la chevrette est partie avec ma flèche en travers du corps. Je l'entends fuir quelques secondes puis se débattre au sol. Elle est morte, je suis soulagé car je me rends compte maintenant que mon tir était quand même osé, vu la distance qui me séparait de la chevrette. Je réencoche et me reconcentre sur la chasse. Les menées s'enchaînent et les coups de feu se succèdent. Au bout d'un moment, une menée semble arriver sur les traces de ma chevrette et je crains que les chiens n'y tombent dessus et n'entament la carcasse. Je quitte donc mon poste pour tenter de la retrouver avant eux. Je me dirige rapidement vers l'endroit du tir et trouve facilement ma flèche couverte de sang et fichée au sol à quelques mètres de l'endroit où se trouvait la chevrette.

Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019

Je la laisse sur place et sors sur le chemin plus en amont pour le suivre un peu à la recherche de la piste de sang. Je trouve vite de grosses gouttes de sang qui traversent le chemin et rentre dans le penchant boisé en biaisant sur ma gauche.

Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019
Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019
Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019

Une menée passe dans le colza, à environ 50 mètres, au pied du bois avec 3 chevreuils au grand galop qui avec un peu de chance remonteront sur Lionel ou Christophe. Je retrouve très facilement ma chevrette qui n'a fait qu'un peu plus de 30 mètres avant de s'effondrer.

Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019

Les chiens ne tardent pas à arriver sur ma chevrette et je les en détourne et fait quelques photos souvenir avant de repartir me poster rapidement.

Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019

Ma flèche est rentrée au défaut de l'épaule et ressort devant l'épaule opposée. Le temps passe et la voix des chiens se calme progressivement jusqu'au signal de fin de battue. J'appelle un piqueur pour avoir un bracelet puis pars rejoindre mes collègues qui n'ont pas eu ma chance. Lionel a vu courir des chevreuils au loin et Christophe a eu la malchance qu'un piqueur retourne les chevreuils qui venait sur lui. Je leur raconte ma chasse et partons chercher ma chevrette et ma flèche en attendant le bracelet avant de redescendre au voiture où je laisse ma chevrette à un des chasseurs de la commune avant de partir pour le rendez-vous de chasse pour les instruction de la seconde traque. Au moins 5 chevreuils ont été tués, je m'attendais à plus vu le nombre de coups de feu tirés. Les "peleurs" sont déjà à l'œuvre.

Serge et les teckels ne sont pas encore arrivés et le président de la chasse décide de chasser la bande boisée qui borde la rivière (Baïse) en les attendant. Nous partons nous poster le long de la butte de l'ancienne voie ferrée avec quelques chasseurs de la société. Nous nous garons au cimetière et partons à pied vers nos postes. Nous laissons Christophe au poste dit "le trou" qui est en fait un ancien passage sous la voie ferrée qui est devenu juste un passage dans la butte avec la disparition du pont et des rails. Christophe monte pour se poster en haut de la butte, au ras du passage alors que nous continuons le long d'une haie de ronces et d'arbustes en parallèle de la butte. Les chasseurs prennent les postes à chaque grosse coulée alors que le chef de ligne poursuit avec nous pour nous poster au bord de la Baïse, au bout de la butte. Lionel prend le poste au bord de la rivière pour barrer la route des animaux qui tenteraient de fuir en longeant l'eau à mi pente du talus de la rivière et je contourne la butte pour me trouver un poste alors que le chef de ligne revient sur ses pas pour rejoindre le sien. Alors que je contourne la butte, un bruit de pas dans les feuilles mortes me fait stopper mais le calme revient sans que je puisse voir l'animal. Je trouve une grosse coulée remontant sur la butte dernière à 20 mètres de la rivière et la suis pour aller me poster au sommet. Alors que j'arrive en crête, j'aperçois une boule de poils blottie coutre un arbre mort tombé au sol. Je l'observe un instant pour me rendre compte qu'il s'agit en fait d'un lièvre gîté. Il m'observe, son œil grand ouvert mais ne daigne pas bouger alors que je suis à peine à 5 mètres en train de le prendre en photo.

Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019

Je m'éloigne un peu pour me poster un peu plus près du bout de la butte. Les traqueurs et les chiens arrivent au loin en longeant la Baïse. Les chiens donnent timidement de la voix puis se calment un moment avant de lancer, à grands cris, 4 chevreuils qui filent en plaine en direction du cimetière. Alors que les animaux passent la ligne les coups de feu claquent et la menée cesse. 2 chevreuils sont tombés, les traqueurs rappelle les grands chiens qui peinent à revenir puis finissent la traque sans lever d'autres animaux. Nous rentrons en suivant la butte quand les chien prennent la voie du lièvre qui s'est débiné sans bruit pendant la chasse. Les chasseurs les arrêtent vite et nous retournons au rendez-vous de chasse.

Le président décide d'une dernière traque, nous partons avec un des chasseurs, photographe attitré des battues pour aller nous poster dans des petits bosquets en bordure d'une grande traque. Nous nous garons près d'une habitation abandonnée puis remontons le coteau. Le chasseur de Saint Paul nous explique que les sangliers ont labouré une petite parcelle près de l'habitation. Arrivés en haut du coteau, je reconnais le secteur où Christophe a fléché un brocard il y a 2 ans. Christophe reprend son poste qui lui avait réussi en sommet de coteau, en bordure d'un bosquet fourré qui redescend vers les voitures, sur notre droite. Lionel se poste au bord d'un autre bosquet sur notre gauche et je descends dans un autre bosquet en contrebas. Alors que je suis à environ 100 mètres de ce bosquet, le bruit du galop de 2 animaux retentit dans la pente boisée en face de moi. Une chevrette et son chevrillard stoppent à découvert, à mi-pente. Le chevrillard se débine dans le sale sur la droite et disparaît. La chevrette reste figée alors que je l'observe immobile. Elle ne me prête pas attention. Je reste un moment sans bouger, elle regarde par moment vers son chevrillard. Je décide d'y aller au culot. Je commence à aboyer, la chevrette regarde vers moi sans bouger comme hypnotisée, j'aboie plusieurs fois sans qu'elle ne réagisse puis commence à avancer doucement droit sur elle en aboyant. Elle me regarde sans bouger d'un millimètre et me laisse approcher à 40 mètres, j'arme mon arc et tente d'approcher encore un peu alors que la chevrette regarde en arrière mais elle se coule dans le sale sur les traces de son jeune. Est-ce l’arrivée des piqueurs sur la ligne ou le petit bruit de métal fait par ma lame à l’armement ou encore juste le moment de partir pour elle ? Dommage, je presse le pas pour rejoindre le bosquet. Les 2 chevreuils sortent du bosquet à environ 80 mètres et remontent la pente du champ. J'aboie et ils se figent, m'observent un instant puis passent de l'autre côté de la butte et disparaissent.

Je presse le pas pour remonter me poster à mi-pente, en bordure du sale alors que j'entends déjà chiens et piqueurs au bout de mon bosquet. Je me place vite, rapidement, les teckels arrivent et passent mon poste, 2 traqueurs passent sous moi puis s'arrêtent pour observer les chiens alors qu'un autre traqueur passe au-dessus de moi en bordure du bosquet à environ 20 mètres. Les chiens tournent et donnent un peu de la voix quand un beau lièvre démarre sur ma droite et se débine au travers des buissons pour venir me passer tranquillement à 3 mètres sur ma droite et stopper, assis, à 10 mètres en dessous de moi à environ 15 mètres des traqueurs qui l'observent. Les chiens arrivant, il démarre et sort sur le découvert pour remonter le penchant du champ en face de moi et disparaître de l'autre côté alors que les teckels s'élancent, avec 150 mètres de retard, à sa poursuite. Les traqueurs crient pour les stopper mais ils passent la crête puis revient un peu après. La traque reprend et s'éloigne vers Christophe puis Lionel puis passe derrière la cime du champ alors qu'un des traqueurs au téléphone semble parler de sangliers. Le calme s'installe et le temps semble long. Des coups de feu se font entendre puis le calme revient. Le lièvre revient et passe la crête avant de descendre vers le bosquet à environ 80 mètres sur ma gauche puis le longe en direction de la route en contrebas. Les postés commentent la scène à voix haute et s'interpellent les uns les autres puis le lièvre fait une boucle et remonte pour repasser la crête en face de moi. Les chasseurs commentent toujours l'apparition de ce lièvre.

Au bout d'un moment, des craquements m’interpellent plus haut sur ma droite. Je me retourne face à la pente et écoute, les yeux grands ouverts. Est-ce un chien ? Les craquements se rapprochent et je finis par apercevoir un petit sanglier qui va passer au trot à 15 mètres au-dessus de moi dans le sale. J'arme mon arc, il stoppe juste au-dessus de moi à 15 mètres dans la broussaille, j'aligne ma visée sur son épaule dans une petite trouée au travers de la végétation. Je décoche, le bruit de l'impact retentit et le choc libère de la poussière du poil de l'animal qui repart en trombe vers le bout du bosquet. Je ne suis pas sûr de mon atteinte et les chasseurs étant toujours à leur discussion et certainement encore chargés au plomb 1 ou 2, je crie : "sanglier". Les chasseurs reprennent en cœur "sanglier" au lieu de se taire. Les minutes passent et je n'entends pas tirer. Par moment, des craquements retentissent sur ma droite, peut être mon sanglier en train de se déplacer dans le sale. Au bout d'un moment, plus un bruit quand mon téléphone sonne, le président de Justian m'appelle pour me demander où est le sanglier, je lui explique qu'il est parti vers lui après mon tir, il m'indique que les chiens et les traqueurs vont arriver. Je remonte la pente en lui parlant et trouve du sang, je décide de le suivre et avertis le président de la chasse de Justian que la ligne se tienne prête au cas où. Je raccroche et suis le sang assez abondant. La piste est assez facile à suivre et biaise doucement à gauche. Dans mon dos les chiens commencent à donner de la voix au loin mais ils seront vite là. Arrivé dans une zone dégagée d'herbe haute couchée au milieu des pins, je perds la piste et les chiens me rattrapent. Alors qu'ils arrivent à 10 mètres sur ma droite, j'entends démarrer le sanglier et tourne la tête pour juste le voir sortir de quelques genévriers et disparaître derrière les pins. Je cri "Attention, sanglier" sans me rendre compte que la route est juste à quelques mètres de moi au pied d'un talus abrupt.

Le sanglier dévale le talus et s'élance entre 2 chasseurs en traversant le goudron de la route. Les coups de feu pleuvent, 4 ou 5 chasseurs vident leurs fusils mais le sanglier passe sans une égratignure et fonce au travers du champ travaillé avec les chiens à ses trousses. Je sors du bois et descends le talus incrédule. Comment ils ont pu louper ce sanglier ? La plupart des chasseurs m’affirment que le sanglier n'était pas blessé mais un a vu ma flèche sur le côté de l'animal. En arrivant à la route j'aperçois alors ma flèche couverte de sang posée sur le goudron, je la ramasse et tente de trouver du sang en demandant aux chasseurs la direction de fuite. Je m'élance en suite au pas de course dans la direction indiquée sans vraiment y croire, le champ monte raide puis redescend. Alors que j'attaque la descente un chasseur dans mon dos me crie que les chiens sont au ferme plus loin. Dans le creux du champ je suis incapable de déterminer la provenance des cris, il m'indique tout droit. Je reprends le pas de course en crachant mes poumons alors que le terrain remonte raire avant de redescendre vers la route d'où j'entends le ferme plus haut le long d'une haie. Je prends sur la droite de la haie mais comprends vite que les chiens sont sur la gauche, je remonte le talus pour traverser la haie puis la suis et remonte la pente prononcée vers les cris. 

Les chiens et le sanglier se dessinent peu à peu derrière la butte. Le sanglier tourne sur lui-même pour repousser alternativement un chien contre la haie et 2 dans le champ qui l'assaillent. J'encoche une flèche et m'approche tranquillement. A quelques mètres du sanglier, j'arme mon arc et donne un peu de la voix pour tenter d'écarter les chiens qui marquent un temps d'arrêt et me laissent une bonne ouverture pour tirer. Le sanglier se tourne face à moi. En essayant de reprendre mon souffle, je vise sur le côté de la tête et décoche. Ma flèche semble traverser le sanglier et se fiche au sol mail il ne réagit pas. Je réencoche, il se retourne et s'éloigne péniblement de cul. Je le suis, arme mon arc et donne de la voix pour le stopper, il se tourne à gauche de 3/4 arrière. Je vise derrière l'épaule et décoche. Ma flèche rentre où je visais et ressort dans la gorge à l'opposé en restant en travers de l'animal, le sanglier saigne abondement, tente de repartir mais s'écroule vite. Je m'approche vite et dégage ma flèche pour éviter qu'il ne la casse en se débattant. Je récupère mon autre flèche et laisse s'immobiliser mon sanglier puis l'attrape par une patte arrière et redescends vers la route avec les chiens que je félicite vivement. Le chasseur qui me suivait arrive pour m'aider. Arrivé à la route d'autres chasseurs arrivent pour récupérer les chiens et j'en profite pour regarder mon sanglier, ma première flèche d’achèvement a en fait juste une grosse entaille dans le muscle de l'épaule. Ma première flèche est rentrée en avant de l'épaule mais je ne trouve pas la sortie.

Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019

Je suis mort mais je ramène mon sanglier jusqu'au carrefour, 150 mètres plus loin où nous le chargeons avant de revenir vers la ligne des postés. Mes collègues m'attendent à la voiture, je remonte vers le poste de Christophe puis redescend vers la voiture où je retrouve mes collègues à qui je raconte mes aventures. Nous partons vers le rendez-vous de chasse, 2 autres sangliers ont été tués, un gros mâle de 70 à 80 kg et un autre jeune comme le mien. Mon sanglier arrive à son tour, je prends quelques photo souvenir avant de rentrer.

Un doublé sympathique en battue, 12 janvier 2019

Alex

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  • : Le blog de Alex.bowhunter
  • Le blog de Alex.bowhunter
  • : Je chasse avec un arc de type compound, principalement le grand gibier et le ragondin, à l'approche en grande majorité, quelques fois à l'affût au sol (seul ou en battue) ou à l'appel, je n'utilise jamais de tree stand. Je chasse léger (pas de jumelles, pas de télémètre)... juste mon arc, mon couteau, parfois un appeau et ma tenue camo...vous trouverez ici un recueil de mes récits de chasse.
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